I – 31 g
Germaine Germaine a beau être jeune Germaine a fait un bond de côté en disant ça Germaine a tout déballé Germaine alla plus loin Germaine appuie son dos contre la porte Germaine Argencourt Germaine attend une réponse Germaine avait beau secouer mon pauvre membre tant qu’elle pouvait Germaine avait lu Germaine avait refusé Germaine baille à s’en décrocher le combiné Germaine chassée Germaine craignait Germaine doit avoir froid Germaine donne un coup de pied dans la porte Germaine dormit longtemps Germaine écrase sa cigarette dans le tiroir de la table de nuit Germaine elle-même était violente Germaine enfouit la main dans sa poche Germaine essuie la vaisselle qui a servi a faire la soupe Germaine est allongée de tout son long sous la fenêtre de mes parents Germaine est avec elle Germaine est dans la chambre Germaine est dans la cuisine avec ma mère Germaine est de ce genre de personnes qui se lamentent des heures durant pour une chose qui ne leur arrive pas alors qu’elles n’ont pas entrepris les démarches nécessaires à son aboutissement Germaine est déshabillée Germaine est enceinte Germaine est installée dehors Germaine est passée sous les couvertures Germaine est pratiquement décidée à rejoindre l’atelier de capitonnage Germaine est redevenue une personne Germaine est revenue Germaine et moi Germaine et moi nous dissimulions l'un avec l'autre Germaine et sa mère sont dans la cuisine Germaine était blessée de mes regrets dans une circonstance où elle croyait que je devais partager sa joie Germaine était d'autant plus en garde contre sa faiblesse qu'elle était poursuivie du souvenir de ses fautes Germaine était sans doute un vif plaisir dans mon existence Germaine était son enfant unique Germaine était tombée dans un profond assoupissement Germaine eût voulu se détacher de moi Germaine fut d'abord surprise de cette révolution dans ma vie Germaine fut émue Germaine fut inébranlable Germaine gardait le silence Germaine gémit Germaine jette sa cigarette sur le tas de neige et rentre dans la maison Germaine l'avait écrite après une des scènes violentes qui avaient précédé sa maladie Germaine lui avait donné de telles preuves de dévouement Germaine m'accusa de l'avoir trompée Germaine m'attendait avec impatience Germaine m'écrivit de passer chez elle à l'instant Germaine m'imputait ses propres torts Germaine m’a encouragé Germaine m’attrape au beau milieu du couloir et tente de me rouler une pelle Germaine me lance un regard indéfinissable Germaine me parut une conquête digne de moi Germaine me proposa de sortir Germaine me regarda Germaine me souffle Germaine me sourit Germaine me sourit gentiment Germaine n'avait eu jusqu'alors aucune notion de ce sentiment passionné Germaine n'avait jamais été aimée de la sorte Germaine n'avait qu'un esprit ordinaire mais ses idées étaient justes Germaine n’arrête pas de se frotter à moi Germaine n’est pas revenue Germaine ne dort pas Germaine ne m'inspirait qu'une pitié mêlée de fatigue Germaine ne s'opposa point à mon départ Germaine ne songea plus à la nécessité que mes visites fussent peu fréquentes Germaine ne tarda pas à s'apercevoir que l'opinion s'élevait contre elle Germaine obtint Germaine ouvre la porte Germaine paraissait avoir perdu l'usage de ses sens Germaine paraissait heureuse Germaine parlait à une femme placée à côté d'elle Germaine part en courant Germaine pellette la neige Germaine perdit en un instant le fruit de dix années de dévouement et de constance Germaine pèse sur mon épaule Germaine pousse la porte Germaine prit ma douceur pour de la tendresse Germaine résolut d'attirer chez elle les familles nobles qui résidaient dans son voisinage ou à Varsovie Germaine respirait encore Germaine reste immobile Germaine reste sur le pas de la porte Germaine revient près du lit Germaine ricane avec un air de petite fille à qui on vient de demander de soulever sa robe Germaine s'aperçut de cette disposition plus affectueuse et plus sensible: elle-même devint moins amère Germaine s'était rassurée pendant la nuit Germaine s'y était opposée avec une espèce de terreur tellement violente qu'on n'avait osé lui désobéir Germaine s’emploie tout comme moi à rendre ce souvenir le plus persistant possible Germaine s’énerve au bout du fil Germaine s’est tue Germaine s’étire en me souriant Germaine saisit le paquet que j’ai jeté sur le lit et s’en allume une à son tour Germaine se croyait de nouveaux droits Germaine se dirige vers la porte Germaine se lève Germaine se lève Germaine se lève Germaine se pousse et je referme la porte à clé en me penchant Germaine se retourne Germaine se tourne contre le mur en grognant Germaine se tourne vers moi Germaine se trémousse Germaine semblait reprendre à la vie Germaine semble attendre quelque chose Germaine souriait de toutes ses dents Germaine suivit de près cette lettre Germaine tente de s’agripper à la table de nuit mais sa main dérape et c’est son menton qui touche le plateau Germaine toujours sur mes épaules Germaine toujours triste Germaine va revivre une dernière fois Germaine verse deux bonnes louches de soupe dans l’assiette que je lui tends Germaine vit dans ma lettre ce qu'il était naturel d'y voir Germaine voulut inutilement en pénétrer la cause
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