I – 29 é f
étonné étouffée étrange espèce de fausseté être porté être prises étudiant les formes dissimulées sous le pull et le jean eu égard à son âge avancé euh euh évacue de petites flammèches bleues évident évitant ainsi de glisser sur les feuilles mortes évite éviter à tout prix de laisser penser qu’on pourrait avoir des sentiments et considérer les gens comme des êtres humains évitons de moisir ici examinant le sol excédé par ce comportement qui n’a jamais été le sien excepté sur nos sentiments intimes excitant excités excuse-moi excusez-moi excusez-moi exhibant ainsi des pectoraux avantageux exhibant ainsi une nudité crue accentuée par un reste d’érection matinale exhibe ma carte au conducteur fabrique face à moi faible faire à bouffer faire partir cette merde dès à présent faire un noble usage de mes facultés fais attention fais comme tu veux fais vite faisant ainsi voler le linge faisant baisser la tête et relever le col à ceux qui n’ont pas de parapluie faisant bien attention de toujours rester sur le gravier pour ne pas laisser de traces faisant effectuer des doubles sauts périlleux arrières à ses baguettes faisant mine de ne rien comprendre à ses dernières paroles faisant rentrer ces immondices loin au fond de sa gorge faisant saillir ses biceps sous le teeshirt trop serré faisant voler les robes des princesses sous la lumière pâle fait saillir des muscles durs fait tourner le barillet et semble vérifier qu’il est chargé fait un pas en arrière en grommelant et continue sa progression vers les toilettes faites avec un bout de bois fallait bien qu’on bouffe fallait-il vraiment revenir fatigué mais calmé fatiguée de ces sentiments amers faudrait peut-être arrêter de se disperser faudrait bien que Germaine trouve du travail faudrait demander à mon père faudrait que tu viennes avec nous faut en être sûr faut en plus que tu le dépenses pour elle faut pas que je me laisse aller faut pas trop que je traîne faut qu’on prenne un appartement faut qu’on prenne une décision faut que j’aille me doucher faut que j’y aille faut que j’y retourne faut que je me venge ! faut que je sorte faut que je vous dise quoi faut que t’arrêtes de me frapper faut que t’avortes faut que tu fasses gaffe à ce que tu fais faut-il donc que je meure faut-il être triste faute de s'être pliée à des convenances factices fébrilement Félix Félix a arrêté son chariot le long de la raboteuse Félix à ma gauche Félix a pris le micro pour m’appeler Félix arrive en retard Félix bombe le torse entre deux mignonnes court vêtues Félix décharge la batterie de la camionnette Félix envoie un magistral bras d’honneur à Charles-Emmanuel qui vient de se retourner Félix est étonné Félix est la seule personne qui évoque Bébert de toute la journée Félix et Fredo Félix frappe les cymbales de toutes ses forces Félix m’accueille Félix m’appelle encore Félix s’en rend compte et repart avec son chariot tout en chantonnant Félix se jette sur la nourriture avec voracité alors que Wilfrid saisit avec précautions les tranches de jambon avant de les placer dans le sandwich qu’il a préparé Félix se lève Félix va se retrouver bombardé directeur ferme derrière nous ferme la porte à clé et m’installe sur le lit ferme la porte et sors par la fenêtre fermé les yeux en appuyant fermement décidé à la baiser là fermement décidée à me pourrir la soirée fermes fidèle à lui même file ça fils de pute fin du deuxième acte finalement fini pour elle fini sans retour
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