I – 64 on
nul ne me disputait mon temps ni mes heures nuques brisées objet d'une insouciance habituelle et d'un effroi passager objet de démonstration à la main obligé de la sentir là observe avec attention le fond de son mouchoir avant de le remettre dans sa poche observe quelques secondes le morceau avant de l’ingurgiter à nouveau occupé de vous seule occupée à commenter la notice d’un savon miracle à un adolescent offensée de mon silence offerte à mes regards dans un moment où mon cœur avait besoin d'amour oh oh ben ça oh mon petit oh mon petit oh oui on on a amené les paniers piquenique on a beau dire on a cru on a joué ensemble longtemps on a les résultats finals de l’autopsie on a retrouvé son corps on a toujours l’air sobre on a tout l’après-midi pour la faire on a trouvé son cadavre on aimerait parfois que l’expérience précède les faits on annonça qu'on avait servi on aperçoit ses phares percer de temps à autres le feuillage on arrive à trouver des solutions à des meurtres qui ont plus de dix ans on aurait jamais dit qu’elle finirait dans un dérapage on avait envoyé chercher un médecin on baise plus qu’une fois par mois on change de situation on crève tous un jour on devine de lourds rideaux on devine facilement quelles furent mes instances pour la détourner d'un projet que je ne concevais pas on devine la puissance muselée sous le capot on devrait toujours tourner les mots on dirait on dirait on dirait plutôt qu’il hésite on dirait qu'en vous demandant de me recevoir on dirait qu’elle porte son sexe sous le nez on dirait qu’elle vient de gagner un pari on dirait qu’il a compris on dirait que la nature se fait silencieuse on dirait que la vue de l'affection les importune on dirait que le bâtiment est désaffecté on dirait que le temps s’assombrit on dirait que tout ce que je cherche on dirait que tu te fiches de ce que j’ai à te dire on dirait que tuer devient ma seconde nature on dirait une statue on dit ça on en a ici on en parlera tout à l’heure on est amies on est condamné tôt ou tard à écouter la raison on est si juste lorsque l'on est désintéressé on était dimanche on eût dit qu'elle luttait contre une puissance physique invisible qui on eût dit qu'en faisant remarquer leurs ridicules on eût dit qu'en se montrant à mes yeux tels qu'ils étaient on eût dit que nous étions poussés l'un contre l'autre par des furies on eût dit quelquefois qu'une révolte secrète se mêlait à l'attachement plutôt passionné que tendre qu'elle leur montrait on eût dit quelquefois que la main de fer qui pesait sur elle s'était retirée on fait quoi on frappe on frappe on ira au cinéma une autre fois on jurerait qu’elle est là on l'examinait avec intérêt et curiosité on l’a retrouvé mort dans le passage juste après le palais des sports on l’aurait dit luminescent on la confondit avec toutes les femmes de sa classe qui se livrent sans scrupule à mille inclinations successives on la devine piaffant derrière on la plaignait on la voyait pâlir de l'idée qu'il faudrait qu'un jour elle leur avouât leur naissance on lui a fait ça avant ou après on lui avait parlé on lui avait rapporté les discours que j'avais tenus on lutte quelque temps contre sa destinée on m'apporta le soir quelques mots d'elle on m'assure on m'assure que l'ancienne maîtresse du comte Charlus est dans cette ville on m'examinait avec attention on m’avait branché un respirateur sur la bouche on me dit qu'elle était sortie on me dit qu’on me connaît on me haïssait on me laissait parfaitement libre on me remit on n'en prolongera pas la durée on n’est jamais assez prudent on ne cesse jamais de les répéter on ne doit pas tarder à entrer dans une carrière on ne jette pas une fille dans cet état à la rue on ne meurt de chagrin que dans les films on ne peut pas dire que ça lui plaise beaucoup on ne pouvait citer aucune action condamnable on ne pouvait même m'en contester quelques-unes qui semblaient annoncer de la générosité ou du dévouement on parlera de quoi on perçoit une progression dans le temps on peut la juger défavorablement sur des apparences mensongères on peut pas vraiment appeler ça comme ça on pourra s’y balader dimanche si il fait beau on pourrait pas vous raconter ça on pourrait se tutoyer on pousse la porte du couloir en même temps que je la tire on pouvait nous entendre on pouvait regarder mes liens avec Germaine comme brisés pour jamais on recommençait quand je m'éloignais on revient quand même on s'en prenait à elle de n'avoir pas inspiré à son amant plus de considération pour son sexe et plus de respect pour les liens du cœur on s’arrangera on s’est fait du soucis on s’y croirait on sait jamais on se comprend on se demandait bien où t’étais passé on se demande si vous habitez vraiment la même baraque on se fait à tout on se plaît à croire à la vérité de toutes ces démonstrations de douleur on se recueille on se remet tout doucement on se retrouve obligés de travailler sans protection si on veut garder la Saint-Aignan-le-Jaillard on se reverra sans doute à ta pharmacie on se revoit tout à l’heure on se taisait à mon approche on sent bien que ce n’est pas n’importe qui on va avoir pas mal d’indices on va bien te faire à manger mon petit Wilfrid on va commencer on va continuer de discuter on va être maman on va leur raconter une belle histoire on va passer à la suite on va vous ramener on vit dans ma conduite celle d'un séducteur on vous ramènera on voyait qu'elle s'efforçait de fuir on y va on y verra plus clair on y voit rien ont commencé leur petit manège onze heures sonnèrent or les hommes se blessent de l'indifférence ordure oscille ose prononcer l'inutilité où
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