jeudi 14 septembre 2023

I – 77 tout le monde



tout était immobile tout étourdi de ce qui s'était passé tout intermédiaire devient un juge tout laisser là tout le monde a bien compris que tu veuilles te changer les idées tout le monde a des idées pour la suite tout le monde dort tout le monde est informé de votre aigreur et de votre mécontentement réciproque tout le monde le sait depuis fort longtemps et qu’ils sourient d’un air désolé dans mon dos tout le monde m’a remarqué tout le monde nous appelle les habilleurs tout le monde peut-être ne pense pas ici comme moi tout le monde s’en foutra tout le monde se tait tout le passé ne nous est-il pas commun tout le temps qu’a duré cette traversée tout leur être sent le compte en banque grassouillet tout me fait une loi de ne rien vous déguiser tout ménagement fut abjuré tout mon cœur était revenu à elle tout mon matériel est installé tout n'est-il pas fini tout pour lui tout près de vous tout regret tout reprit autour de nous une apparence régulière tout s’agite autour de moi mais rien ne me touche tout s’arrête tout s’emmêle tout se joue à quelques heures tout se mêle dans un étrange conglomérat tout semblerait donc indiquer qu’on lui a fait ça pour simuler un crime de maniaque tout sourire tout va bien tout va bien toute approbation pour mon esprit ou mes connaissances toute cette histoire fait partie du passé toute crainte toute délicatesse oubliée toute incertitude sur mon sentiment toute l’assurance que j’éprouvais depuis le réveil fout le camp toute la chambre tourne sur elle-même toute la famille toute la nature semblait me dire que j'allais à jamais cesser d'être aimé toute louange toute mon irritation disparut toute peine toutes catégories confondues toutes ces choses me paraissaient tellement présentes toutes ces considérations m'engageaient à donner et à recevoir encore le plus de bonheur qu'il était possible toutes ces images qui se bousculent toutes ces menues emmerdes annuelles toutes en muscles longs toutes les affaires traînent par terre toutes les autres affections ont besoin du passé toutes les deux toutes les femmes toutes les lumières sont allumées toutes les routes vous sont ouvertes toutes mes idées toutes mes questions toux tracées de ma main traîner des pieds en enfilant ses chaussures tranquille traverse et constate que ce n’est ni le type traverse l’atelier et monte les marches menant à l’aquarium traverse la chambre tremblant d'interrompre par quelque mouvement inconsidéré cette grande crise à laquelle j'attachais ma délivrance tremblote que non trente centimètres plus loin très calme mais déterminé très doucement très fort très frivole en apparence tressautent triste comme des fesses de vieux tristes équivoques trois ans plus tôt trois coups de sonnette retentissent dans l’atelier trois mois après trois quarts d’heure trop d’autres choses accaparent mon esprit trop d’informations sur un seul sujet trop faible pour que nous trouvassions du bonheur à être unis trop fatigué trop fins pour la basse trop risqué trop tard trop tard trouble et de tourment à laquelle sa passion me condamnait trouvait-elle une sorte de consolation à s'entendre répéter des expressions d'amour que depuis longtemps je ne prononçais plus trouve presque du repos dans le dévouement trouvé tiraillé par le désir de rompre une liaison inconvenable et la crainte d'affliger une femme qu'il avait aimée trouver à me loger n’a pas été le plus difficile trouver un travail reste le dernier rempart à franchir pour nous installer au centre ville trouvez des prétextes pour rester tu  me dis clairement où t’en es tu bosses pas tu comprends tu comptais reconnaître le môme tu connais un restau sympa dans le coin tu crois pas tu crois que c’est quelqu’un qui l’a tué tu crois vraiment que c’est elle le problème tu déformes tout tu dis tu disais que tu ferais jamais ce boulot tu es en train de me dire que tu restes avec cette gonzesse parce que tu as peur d’être rejeté si tu la largues tu es enceinte tu es sûre de l’avoir garée là tu fais quoi tu faisais quoi tu ferais mieux de tout déballer tu l’as tu l’as déjà rencontrée tu l’as mis où tu l’as pas vue tu l’as tuée tu l’as vu tout à l’heure tu l’aurais fait de toute façon tu le sais ça tu liras après tu lui diras au revoir pour moi tu m’avais pas reconnu tu m’embrouilles tu me baises tu me dis ça tu me files un coup de main pour la bouffe tu me gonfles depuis tout à l’heure tu me laisses encore un quart d’heure tu ne peux pas la laisser parler de ta propre mère comme ça tu parles qu’ils en avaient besoin tu pars tu passeras acheter un test tu peux le dire comme ça tu peux pas l’acheter tu peux pas me parler comme ça tu peux pas partir comme ça tu peux pas rester 

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