I – 52 l’
l'intimité qui existait entre cet homme et mon père l'œil indifférent de M l'on attribua ma tolérance inexplicable à une légèreté de principes l'on m'apporta tous les papiers de Germaine l'on ne racontait rien d'intéressant qu'elle ne m'appelât pour l'entendre l'on ne sait pas assez combien l'on se serait également trompé dans ces deux jugements l'on se trouve seulement avoir ajouté des remords aux regrets et des fautes aux souffrances l'un des hommes que votre départ inattendu a le plus étonné l'une de ses femmes l'une était la mienne au baron Elstir l’absence de Louis a l’air de peser au vieux l’absence de Louis ne pose pas de réel soucis l’absorbe l’accident l’accident l’activité bat son plein l’air de jouer dans un film américain l’air étonnée l’air gêné l’air libérateur entre en force l’air parfumé de mousse du sous-bois investi chacune de mes cellules pulmonaires l’air un peu nerveuse l’alcool l’alcool aidant l’alcool coule lentement le long de mon œsophage l’allée de graviers est sombre l’allonger sur le capot et la baiser là l’allusion à sa responsabilité dans l’ablation du majeur paternel et le message personnel l’ampli murmure un léger souffle vite masqué par les premières notes l’ancien l’angle que prend son cou a quelque chose d’inquiétant l’année dernière à cette époque l’anse du sac de sport pèse sur mon épaule l’appareil est près l’appréhension l’après-midi s’écoule doucement l’aquarium d’Charles-Emmanuel sent le papier l’argent n’est pas notre motivation principale l’arrivisme n’a pas de limites l’atmosphère chargée d’eau et de poussière rend le travail de vernissage particulièrement ardu l’autre le A l’autre va donner l’ordre de continuer l’avoir tué n’arrange rien l’eau glisse rapidement vers le chêneau l’eau glisse sur mes joues dans un flot ininterrompu l’éclairage urbain à bien du mal à conserver ses lettres de noblesse l’écrase méthodiquement l’effort pour gonfler sa poitrine ne m’a pas échappé l’électricité l’employé me regarde à peine avant de glisser le papier jaune sous le vitrage blindé l’en a lourd sur la patate l’endroit n’est pas éclairé l’endroit où elles étaient allongées se dessine derrière les arbres l’engin a stoppé sur le bord de la route l’enlever l’ensemble l’envie de construire quelque chose à deux l’épisode a une suite l’époque où le Formica était roi l’équilibre était rétabli l’équipe a changé mais le public également l’espace d’un instant l’espace d’un instant l’espace dans la doublure recèle des billets de cinq cents l’espoir l’éventualité de travailler ailleurs ne m’a même pas effleuré l’hésitation ne dure pas l’hiver en a décidé autrement l’hôtel est miteux l’humidité l’identité judiciaire a retrouvé des fragments de bois dans le l’immense espace n’est peuplé que de locomotives en cours de révision l’important est juste que ça arrive l’impression d’être parti des années alors que mon absence a juste duré deux semaines l’infirmier éternue l’infirmier me tend une cigarette qu’il vient d’allumer l’odeur qui se dégage de la cocotte en fonte me met soudain de bonne humeur l’œil mort de Germaine continue de me fixer l’oncle Charles-Emmanuel l’oncle Charles-Emmanuel l’oncle ouvre la porte vitrée l’ouvrir et arrêter le magnétophone l’un aura le V l’un d’eux renfermant l’outil que je viens d’utiliser l’un de ses yeux est encore ouvert l’un va vouloir arrêter l’une est ouverte là là bas là bas la bascule dans mes bras et entreprends de la monter dans la chambre la bécane ne roulait donc pas souvent la belle surprise la berline vient de tourner sur la droite la bizarrerie de sa position suppléait en elle à la nouveauté des idées la bonne la bonne blague la bonne solution la bonté la bouche pleine la bouteille retrouve son placard et je lave les verres avant de les remettre en place la buée sur le miroir de la salle de bains la campagne devenait déserte
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire