I – 61 mon
mettant dans ma vie un nouvel intérêt mieux vaut attendre encore un peu avant de prendre réellement une décision mignonne mignonne allons voir mille souvenirs rentraient comme par torrents dans mon âme mime la surprise mimer la surprise serait malhonnête minuit mirent le plus grand éclat dans leur rupture mis en mouvement mité mixant le tout derrière des Ç plus ou moins È et des Ç si on veut È qui ne semblent pas répondre à sa question moi moi aussi moi avec moi qui d’ordinaire éprouve autant d’intérêt pour le foot que pour la politique moi qui pensait que tout finissait forcément par s’arranger un jour ou l’autre moi toujours inquiet moi-même moins agité moins elle était disposée à m'écouter moins les gens me verront et mieux ça vaudra moins libres avec moi moins mécontent qu'il n'a fait aucun usage d'une liberté reconquise au prix de tant de douleurs et de tant de larmes molle momentanément au moins mon accident qui était encore proche mon agitation redoubla les jours suivants mon âme mon âme semblait se relever d'une dégradation longue et honteuse mon amour pour vous fut peut-être une faute je ne le croirais pourtant pas mon amour tenait du culte mon amour-propre s'y mêlait mon bâton à la main mon chéri mon chéri c’est bien ce que je disais mon cœur se rétracte dans ma poitrine mon couteau mon couteau s’ouvre mon départ que déjà diverses circonstances avaient retardé mon dieu mon espoir de la voir enfin heureuse sans moi pour le désir de la rendre heureuse mon esprit est encore embrumé mais je sais ce que je dois faire aujourd’hui mon estomac remonte d’une bonne vingtaine de centimètres avant de finir par se stabiliser mon fils mon fils est un assassin et je voudrais que vous m’aidiez à le faire enfermer mon Françoise mon frère mon frère brise le silence en déclenchant l’aspiration de la toupie mon frère lève sa bière mon front était couvert d'une sueur froide mon imagination mon impatience se changea tout à coup en timidité mon incertitude sur le succès de ma tentative mon intention positive était toujours d'en dire du bien mon interlocuteur rejoint son bar où un nouveau client vient de l’interpeller mon jeune ami mon journal à la main mon matériel de musique est installé dans le fond mon minou mon moral se laisse emporter vers les égouts par cette eau qui ruisselle mon neveu mon oncle mon oncle me fait signe de le rejoindre mon pantalon le suit de près mon père mon père a déjà fini mon père a dû leur dire mon père a dû s’arrêter de travailler pendant un moment et nous avons vécu sur la fameuse prime mon père a pris un bus précédent mon père a toujours fait ça mon père ajoute mon père arrête un instant de consulter ses plans pour regarder dans notre direction mon père baille avant de me dire mon père balaie cette dernière objection mon père demande mon père dit qu’au moins comme ça mon père est affalé dans le fauteuil pliant contre le poêle mon père est là qui veille mon père est levé mon père est parti bricoler et Louis fouille son nez d’un index sûr tout enlisant un Tintin qu’il connaît déjà par cœur mon père est sous l’appentis mon père est un inconnu pour moi mon père était timide mon père finit tout de même par demander mon père lève un œil mon père longe la barrière mon père m'ordonnait de me rendre auprès de lui mon père m’a laissé seul mon père monte dans son aquarium mon père n’y prend pas garde et se sert mon père non plus n’a pas envie de parler mon père nous rejoint alors que je finis de mettre la table mon père ouvre grand les yeux mon père passe par là mon père retourne voir la mère une dernière fois avant de nous rejoindre sur le trottoir où nous attendons le bus mon père s’approche et me fait la bise mon père se lève mon père se lève en grommelant mon père sourit légèrement mon père sourit un peu plus mais ne relève pas la tête mon père va la voir plusieurs fois et nous rejoint après coup sans un mot mon petit mon pied part à nouveau mon poing lui écrase les lèvres mon poing s’enfonce dans son estomac juste avant que son nez ne craque pour mon genou mon pote mon pouls reprend un rythme normal mon salaud mon sang me brûlait en circulant dans mes veines mon séjour chez Germaine ne pouvait s'expliquer que par un extrême attachement pour elle mon sentiment mon train est à dix heures mon trouble était tout différent de celui que j'avais connu jusqu'alors mon trouble va finir par se remarquer mon visage doit être transparent
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